L’été, petit à petit, s’achève. Alors pour en préserver le souvenir, rien de tel que l’évocation du sable chaud, des peaux dorées et des corps semi-dénudés. Ce que le Taïwanais Hilo Chen effectue parfaitement. Peintures lumineuses, ses oeuvres s’inscrivent dans ce courant hyper-réaliste contemporain qui, à défaut d’exprimer ou de défendre de grandes idées, représente merveilleusement le vide et la superficialité de nos existences. A l’image de JKB Fletcher, Linnea Strid ou Ana Teresa Fernandez. Des toiles excessivement bien exécutées, gratuites, dignes d’un « Martine à la Plage » pour adultes et d’une esthétique comparable à la course d’une héroïne d’Alerte à Malibu. Une série intitulée « Beach ».
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