Immersive, presque comportementaliste, la photographie de Larry Fink (1941) ouvre au regard du spectateur différentes cosmes, dévoilant ainsi leurs codes. Pour citer Susan Kismaric, ses clichés offrent « la possibilité d’étudier un geste, un sourire, un coup-d’oeil furtif, même la sueur sur un bras ou un plissement de peau… Elles gravent la tension entre l’identité publique […]