Artiste japonaise de 30 ans, Chie Aoki, à l’instar d’Emil Alzamora, sculpte le corps pour en questionner la puissance. Amputant ses oeuvres de leur buste, elle semble figurer les limites de l’enveloppe charnelle, conditionnant la posture et l’activité selon l’élan d’une protubérance indéfinie. Une approche à la fois simple et forte qui scande la dualité opposant finitudes et aspirations.
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